Cueilleur-Culteur N°6

Articles

• Les Légumes Sauvages… (Partie 1)
  28 décembre 2017, par Véronique Garcia Pays

  Il y a dans le Massif central quantité de traditions alimentaires qui soulèvent un coin du voile posé sur le patrimoine culinaire des plantes sauvages comestibles.
  Les recettes régionales qui ont fait la réputation de la région Auvergne ont été les premières à me mettre la puce à l’oreille avant que je ne découvre la richesse des départements voisins jusqu’aux rivages du Midi et par extension d’ouest en est des Pyrénées à la Cote d’Azur où chaque population préserve précieusement un (…)

• Cueilleur Culteur N°6 - Décembre 2017
  6 janvier 2018, par Thomas Oak

  Éditorial

  Je suis officiellement cancérigène, je me retrouve en quantité dans votre sang, je suis en dose non négligeable dans toutes les pluies ; malgré que 80% des gens soient opposés à moi, la commission Européenne m’a permis de vous envahir encore pendant 5 ans grâce à la voix d’un homme qui voulait faire la pige à sa chancelière et qui à n’en pas douter pourra bientôt pantoufler chez monsieur Big Agro.

  Qui suis-je ?

  Le Glyphosate, vous aviez deviné je suppose. Il a probablement eu droit à ce (...)

• L’ortie dans tous ses états.
  2 janvier 2018, par Misou Méricq

  Dans le numéro d’Octobre (http://www.assiette-sauvage.org/spi..., un excellent article nous permet de connaitre les protéines vertes que procurent les plantes sauvages (Amarante, Mauve, Egopode , Consoude, Bon Henri, Chénopode blanc et, bien sûr, l’Ortie à qui je décernerais pour ma part le premier prix !
  Mais soyez rassurés ce prix-là, je le décerne à beaucoup d’autres plantes ! Mais comment l’utiliser ?
  Pour beaucoup, peut -être, en soupe bien qu’encore le côté urticant de l’ortie crée (…)

• Cap Au Sud !
  2 janvier 2018, par Thomas Oak

  Je suis sorti de mon jardin il y a peu pour rendre visite à une "fille" d’adoption faisant ses études sur Valencia en Espagne... Vous savez là où il y a des champs d’orange à perte de vue. Et elle me dit que je suis invité à faire une promenade en "Montagne". Et nous voilà parti sur un massif calcaire oblongue comme une longue molaire planté dans une gencive en terre à deux pas de la mer, avec un sommet à 1100 m. J’en ai profité pour faire l’inverse de ce que j’ai prôné dans l’écriture de (…)